par Amauri
Persépolis est un vrai triomphe d’animation. C’est une histoire autobiographique a laquelle tout le monde peut s’identifier. Persépolis suit l’histoire d’une jeune femme iranienne qui essaie d’avoir une vie normale. Se déroulant dans les années soixante-dix à quatre-vingt-dix, l’audience apprend la vérité de toutes les guerres et changements dans le gouvernement et les stratégies en Iran. Avant de ce film, je n’ai jamais connu qu’il y avait un temps qu’Iran n’avait pas des règles comme les femmes doivent porter des voiles, les règles extrêmes d’Islam, ou une période de temps où ils n’étaient pas impliqués en guerre. Je ne savais pas non plus que les citoyennes d’Iran ont continué à trouver les moments de joie dans petites façons comme les fêtes, acheter les choses illégales comme la musique, les vêtements, l’alcool, etc.
Persépolis est une belle histoire racontée dans les symboles. Quand on se rencontre Marjane pour la première fois, elle est obsédée avec les films de Bruce Lee. C’est important de se souvenir ce que Bruce Lee a représenté pour elle. Après avoir été rejeté pour un bon rôle dans un film aux Etats-Unis, il a retourné en Chine où il a joué dans les films de Kung Fu. Dans ses films, ses ennemis étaient toujours les japonais, les blancs, les politiciens corruptifs, etc. Ce qui était le plus important est que Bruce Lee les a battus sans les armes, juste ses poings. Il était le « petit type » qui gagne « le grand méchant ». Cela représente la lutte ce que les parents de Marjane et les autres membres de sa famille affrontent à ce point de sa vie. Mais la tragédie – juste comme la vie de Bruce Lee – est que cette période est courte et seulement un fantasme. Le « petit type » ne gagne pas toujours et la corruption ruine tout.
Son adolescence est définie par la voile. La corruption d’Iran n’augmente qu’avec chaque jour. Sous le nouveau régime, toutes les filles sont forcées de porter la voile et pratiquer la modestie. Il y avait un temps où quelqu’un pourrait choisir à porter la voile. Les règles sont tellement strictes que Marjane ne peut pas décorer ses vêtements. Elle se rebelle contre les lois de toute façon. Elle acheté les cassettes illégales de Michael Jackson, porte une veste qui dit « Punk Is not Dead », et porte aussi des baskets. Comme elle continue à désobéir les nouvelles règles et voit la destruction d’un pays qu’elle a connu une fois, ses parents font la décision difficile de l’envoyer à l’Autriche.
Sa vie d’adulte est formée par les relations échouées et la reconnexion. Pendant que en Autriche, Marjane commence à rejeter son héritage. Elle ne peut pas gérer la surveillance des autres. Elle se sent déconnectée de son pays à cause du nouveau régime et le pays où elle habite maintenant parce qu’elle est si différente des autres. Elle a autant troubles avec ses relations parce qu’il y a trop qui se passer dans sa vie. Elle essaie d’assimiler avec les européens mais ils étaient déconnectés. Ils lui parlent du nihilisme et comment il y a un besoin pour le communisme pour tout le monde. Ils ne la comprennent pas et leur privilège était évident quand ils se plaignent de leurs voyages chers de Noel. Je pense que ses relations échouent parce que Marjane ne permet pas d’être triste. Elle essaie d’être forte alors sa famille ne s’inquiète pas d’elle, mais elle se détruit à la fin. Je pense qu’elle avait besoin de se rendre compte que c’est ok de ne pas être « normale ». A mon avis – ce besoin de se sentir normale ruine ses relations parce qu’elle est dans une situation anormale sans l’orientation de sa mère ou grand-mère. Elle ne sait pas aimer ou être aimée alors la dépression nerveuse elle a eu en Autriche et le mariage échoué qu’elle a eu en Iran étaient inévitable. Cela ce qui rend le film tellement humain. Toutes ses sentiments et erreurs sont racontables à tous. Ce n’est pas la même situation, trouver son propre chemin dans la vie est quelque chose que tout le monde comprend.