par Colleen
Après avoir regardé le film Les Femmes du 6e étage, j’ai été impressionné par la quantité de problèmes qu’il a fait vivre. En particulier, une leçon frappante à tirer en regardant ce film est le pouvoir de la connaissance des gens autour de vous au lieu de vivre dans l’ignorance. Voyageant dans l’esprit et le statut social de Jean-Louis, il est un homme riche, fonctionnaire d’une maison de courtage et marié à une femme du nom de Suzanne. Ce personnage a attiré mon attention en raison du développement complet qu’il a dans le film.
Au début du film, Jean-Louis est comme « toutes les autres » familles riches là-bas. Il a embauché une nouvelle femme de chambre, une jeune femme espagnole nommée Maria. Elle montre sa valeur avec les tâches ménagères et se fait embaucher. Ce n’est que lorsque Jean-Louis a posé quelques vieux meubles à l’étage qu’il passe d’ignorant à curieux. Jean-Louis devient très curieux de savoir comment ses propres bonnes dorment et se nettoient. Il se présente à toutes les femmes du 6e étage. Tous se présentent volontiers en attendent un, Carmen. Elle montre à Jean-Louis les conditions de vie à l’étage en lui montrant les toilettes que partagent toutes les femmes. C’est le tournant pour Jean-Louis, ce soir-là, il se précipite un dodu pour nettoyer la salle de bain. Alors que toutes les dames applaudissent.
Jean-Louis commence à être plus consciencieux quant aux besoins de ses ouvriers. Il ignore également sa femme et commence à prêter attention à ses femmes de chambre. Suzanne ne semble pas non plus au courant des conditions des bonnes. Tout au long du film, lorsque Jean-Louis apprend davantage sur les femmes du 6e étage, la musique qui joue est plus pleine d’espoir et de gentillesse. Les femmes commencent à l’inclure dans leur vie et dans ce qu’elles font. Au fur et à mesure que le film continue, Maria commence à enseigner à Jean-Louis des choses dont il ne sait rien. Par exemple, Maria riait de la façon dont il prononçait un mot en espagnol. Ils ont partagé un moment intime où Maria attrape son cou pour entendre comment il prononçait le mot et Jean-Louis attrape le cou de Maria pour faire de même. Il y avait de la musique lente pendant qu’ils partageaient ce moment. Puis, au fur et à mesure que la scène changeait, la musique aussi.
Une scène particulière qui a attiré mon attention concernait ce film et le développement général du personnage Jean-Louis, c’est quand il est invité à une fête avec ses femmes de chambre et qu’elles fêtaient la nouvelle maison qu’il lui avait achetée. Sa femme, Suzanne, attendait à la maison son arrivée quand elle voit une carte avec la phrase « à ce soir » signée par une dame dont elle était jalouse d’une autre fête. Quand Jean-Louis arrive enfin à la maison, très tard, Suzanne ne le croirait pas qu’il fêtait avec les bonnes toute la nuit. La musique devient tendue car il doit mentir pour que Suzanne le croie. Suzanne l’expulse de la maison. Jean-Louis finit par rester dans la salle vide du 6e étage. Jean-Louis apprend l’importance de la connaissance quand il a du mal à s’endormir dans la petite chambre encombrée.
Ce qui résume le caractère de Jean-Louis, c’est quand Maria retourne en Espagne pour voir son enfant et qu’elle s’assure qu’elle part avec lui. Sous-titré « trois ans plus tard », Jean-Louis se rend en Espagne, parvient à apprendre l’espagnol, retrouve certaines des femmes du 6e étage et voit enfin Maria. Le personnage de Jean-Louis prend le parti d’être ignorant pour être bien informé et trouve l’amour en Maria.