Le personnage de Seyolo

par Kimberly

Dans le film, Bienvenue à Marly-Gomont, un film où un homme africain est médecin en France. Il s’appelle Seyolo, et il prend un travail au nord de Paris. Il fait ça car il veut une bonne vie pour ses enfants. Seyolo a dit que les personnes noires doivent travailler dur pour réussir. Solo pense aussi que les sports sont pour les imbéciles. Il pense que tout le monde doit avoir une fondation en éducation, que la chose la plus importante du monde sont les études. Seyolo est un homme qui veut être ami de tout le monde, et je pense que c’est parce qu’il veut être accepté parce qu’il n’a jamais connu ses parents.

Seyolo est un orphelin de l’Afrique. Il a étudié en France, et il a beaucoup travaillé pour devenir un médecin. La raison pour laquelle il voyage à la ville de Marly-Gomont est que Seyolo veut la nationalité française, et son rêve est d’ouvrir son propre cabinet médical. Seyolo a besoin de la citoyenneté française pour pouvoir faire ça. Le personnage de Seyolo est travailleur, et il sait tout ce qu’il veut dans la vie. Il est un homme un peu arrogant, car il veut que ses enfants soient come lui. Aussi, il peut avoir un peu de peur parce qu’il ne veut pas que ses enfants luttent comme il l’a fait. Il devient fâché quand sa fille veut voir un match de foot à la télévision. Il le dit que le foot est pour les imbéciles, et qu’une personne noire doit être une bonne étudiante. À mon avis, il pense ça parce qu’il était difficile pour une personne noire de gagner les respect ou d’être respectueuse à cause de la couleur de sa peau.

Je pense que le personnage de Seyolo est un peu compliqué. Je pense que Seyolo est le type de personne qui pense qu’il a de raison tout les temps. Il est très déterminé, et il est prêt à abandonner sa culture et sa famille pour être accepté dans la ville. Seyolo est désespéré. Il est désespéré pour travailler comme médecin. Il est désespéré pour être accepté par la ville, et une chose qu’il fait est de passer du temps au bar dans l’espoir que les personnes de la ville l’aiment. Seyolo est tellement concentré sur l’acceptation qu’il oublie d’être le père de ses enfants. Je pense que pendant la majorité du film, Seyolo n’est pas intéressé par la santé mentale de sa famille. La femme de Seyolo est triste car elle se sent seule ans la ville. La fille est triste car elle ne peut pas jouer au foot. Et son fils est triste parce que les enfants à l’école se moquent de lui. La raison pour laquelle Seyolo fait attention à ses enfants est parce qu’il ne peut pas travailler comme médecin. Il se rendit compte que sa fille est un grand joueur de football quand il a eu le temps d’aller et voir le match. Quand la famille de Seyolo est venue à Marly-Gomont, Seyolo ne veut pas qu’ils vont à l’église pour la messe de Noël. Seyolo pense que sa famille va l’embarrasser. Seyolo sait que sa famille va chanter et avoir du bon temps pendant la messe, et il pense que les citadins vont encore penser mal de lui. Il devient fâché avec sa famille et il agit comme il n’aime pas sa culture. Pendant la majorité du film, je pense que Seyolo veut être français et pas africain. Mais, depuis le Noël, Seyolo se souvient de sa culture. Les personnes de la ville commence à l’accepter comme médecin après qu’il avoir accouché d’un bébé, et il a ouvert son propre cabinet médical à la fin. La fin du film montre son acceptation de qui il est en tant que médecin venu d’Afrique.

Un conte de la diaspora africaine

par Amauri

Bienvenue à Marly-Gomont se déroule dans les années soixante-dix. Le film parle d’une vraie histoire sur un docteur africain qui se déplace avec sa famille à la campagne en France. Comme l’histoire est racontée, on voit Seyolo –le docteur africain – et sa famille affrontent le racisme et préjudice pendant qu’il essaie de gagner la confiance des villageois.

La scène ou la famille de Seyolo chantent dans l’église me suis rendu heureuse et inconfortable. C’est une scène qui est très amusante, mais j’ai pensé que c’était une belle touche. Tout le monde dans l’immeuble chantait « Douce Nuit » pour Noël, mais sa famille commence à la chanter dans la version congolaise. Cette scène est la raison pour laquelle j’ai aimé et je n’ai pas aimé pas ce film.

C’est bien parce qu’il montre que vous ne pouvez pas vraiment lâcher votre origine. Seyolo et sa famille sont différents. Etant dans une ville où tout le monde est le même peut être un bon temps de montrer votre originalité. C’est évident quand le pianiste change le tempo de chanson pour les accommoder. C’est petit, mais ça montre quelqu’un qui a le potentiel d’acceptation. Une seule femme chante avec la famille et même applaudis à la fin de leur interprétation. Elle était embarrassée, mais elle aime les différences entre elle et les congolaises.

Ça me rappelle des afro-américains et la façon que nous chantons. J’ai lu beaucoup de livres sur l’esclavage en Amérique et ce qu’il s’est passé après. En plusieurs comptes, les gens noirs disent que les blancs ont dit que nous ne suivons pas le même religieux parce que nous avons chanté différemment les chansons, nous avons dansé quand nous devrions rester immobiles, ou nous avons compris différemment les écritures. Dans certains cas, nous avons mélangé nos religieux traditionnels (comme « hoodoo » et « vaudou ») avec la christianité.

Ce qui ruine la scène est quand Seyolo leur dit qu’ils ne sont pas normaux et qu’ils ruinent sa chance d’intégrer avec les français à cause de leurs différences. Ce que Seyolo ne se rend compte pas est qu’il ne pourra jamais intégrer avec les français. Il est différent et le film aurait été mieux s’il a compris ça. Je sais que c’est un film basé sur une vraie histoire, mais ce format de narration est démodé.

La situation est similaire aux États-Unis. Peu importe combien les afro-américains ont essayé d’assimiler avec les blancs, nous n’ont été jamais acceptés. Même aujourd’hui, en 2021, ça ne marche pas toujours. Le problème racisme devient quelque chose que la personne qui le découvre doit changer le système. Seyolo croit qu’il doit changer pour les villageois l’aiment, mais ce qui a eu besoin de se passer était que les racistes arrêtent d’être raciste.

Analyse de Seyolo

Par Kayla

Bienvenue à Marly-Gomont est un film qui était basé sur une vraie personne appelée Seyolo Zantoko, un homme brillant et un médecin talentueux. Lui et sa famille sont du Congo et ils ont déménagé à la campagne de France, dans un petit village nommé Marly-Gomont, où Seyolo et sa famille ont été les premiers Noirs à y vivre et Seyolo est devenu le premier médecin noir dans le village. Parce que Seyolo et sa famille étaient noirs, les habitants ne leur faisait pas confiance quand ils sont arrivés, mais l’événement plus tard dans le film a changé leurs opinions.

Ce qui est intéressant, c’est que lorsque Seyolo essaie de prouver aux gens que lui et sa famille ne sont pas si différents d’eux, il supprime ses racines et celle de sa famille au Congo. Seyolo a du mal à accepter qu’il était différent non seulement parce qu’il était noir, mais parce qu’il était orphelin. Après avoir été arrêté et rappelé sa situation d’enfance, Jean l’a trouvé et il a exprimé comment personne n’avait besoin de lui ou ne voulait de lui, pas même ses parents le voulaient. De là, il était évident pourquoi il voulait oublier sa culture et a travaillé si dur pour que les gens l’acceptent. Il voulait se sentir accepté et aimé parce qu’il a été abandonné par ses parents quand il était enfant. Sa motivation pour devenir médecin a peut-être été de prouver qu’il pouvait devenir quelque chose de grand même sans ses parents. Comme tous les autres films de fin heureuse, il a appris à s’accepter lui-même et son passé et a avancé et les villageois ont fini par l’aimer.

Tout au long du film, on peut voir les tentatives qu’il a faites pour empêcher sa famille d’agir différemment des villageois. Seyolo a établit une règle que sa famille ne devrait pas parler dans leur langue maternelle, mais de ne parler français. Puis il a empêché sa fille de jouer au football, ce qui était la seule chose qu’elle aimait vraiment faire. Ce qui était le plus grand signe qu’il était gêné d’où il venait, c’est quand leur famille est venue lui rendre visite. Quiconque pouvait voir tout de suite que la famille était différente des villageois en sauf de la couleur de leur peau. Seyolo voulait garder ses proches hors de vue afin qu’ils « n’embarrassent pas. » Il a cependant la meilleure façon de gagner la confiance du peuple était d’être comme eux. Alors, il a socialisé avec eux en allant au bar pour prendre un verre avec eux et jouer aux fléchettes. Mais alors que Seyolo socialise avec les gens, il n’a jamais essayé de parler d’où il vient et de ce que c’était que de rentrer chez lui, presque comme s’il voulait oublier sa maison et adapter une nouvelle personnalité. Il était très clair qu’il n’aimait pas la façon dont sa famille se comporte quand l’allé à la messe de Noël et sa famille a commencé à chanter dans leur dialecte africain. Mais après le sermon, il a été appelé pour aider à accoucher, et après que tout le monde a vu comment les nouveaux parents lui faisaient assez confiance pour l’aider, ils ont commencé à accepter davantage Seyolo et sa famille. Malgré ses tentatives de fuir son passé, il a fini par apprendre à s’accepter et d’où il vient, tout comme les villageois.